Information : Simon Fauteux

Montréal, février 2026 – Pour son 14ᵉ album en carrière, La plus belle saison, à paraître le 6 février, la chanteuse, productrice et arrangeuse Emilie-Claire Barlow signe une œuvre profondément sensible et résolument lumineuse. Lancé sous son étiquette indépendante Empress Music Group, l’album rend hommage à la richesse de la chanson québécoise et à la beauté de la langue française. Entièrement enregistré à Montréal aux studios Hublot et PM, le projet est coréalisé avec le pianiste et arrangeur François Richard.

Composé de 11 pièces, l’album se distingue par une richesse sonore remarquable, naviguant avec une élégance naturelle du jazz au folk, en passant par la samba et une pop orchestrale finement dosée. L’album respire une douce nostalgie qui s’inscrit pleinement dans l’esthétique du jazz contemporain.

Les 11 pièces de l’album La plus belle saison :
La plus belle saison s’ouvre sur « Dans les rues de Québec » de Charles Trenet, une reprise vive et enjouée où guitare, contrebasse et trompette évoquent une promenade exaltée dans la Vieille Capitale, ville d’adoption d’Emilie-Claire. Suit une version feutrée de « Quelles sont les chances », interprétée en duo avec Damien Robitaille. Leurs voix s’y répondent avec tendresse, portées par une orchestration évoquant les fins d’après-midi d’été.

La reprise de « Je suis en amour » de Diane Tell, fidèle à l’esprit original met en valeur la capacité d’Emilie-Claire à naviguer aisément entre le jazz et la pop.

La samba « J’ai rencontré l’homme de ma vie » (Luc Plamondon, François Cousineau) se démarque par ses percussions aériennes et une trompette enjouée qui lui confère un charme raffiné et envoûtant. Dans
« Si doucement » d’Harmonium, Emilie-Claire rend un vibrant hommage à l’univers poétique de Serge Fiori, offrant une interprétation introspective et lumineuse.

Avec « Comment t’aimer encore » (Belle Grand Fille), Emilie-Claire ouvre un dialogue émouvant entre sa voix limpide, une trompette plaintive et de somptueuses cordes tandis que « Les deux printemps » de Daniel Bélanger devient une valse jazz tendre ponctuée d’un jeu complice entre scat et saxophone.

Le premier extrait de l’album « D’la bière au ciel » de Jim Corcoran surprend par son ambiance jazz & bluegrass aux accents Hot Club. Mandoline et trompette s’y répondent avec panache, tandis que Jim Corcoran rejoint la chanteuse pour un last call tout en finesse et camaraderie.

Avec « Jerrycan » d’Anique Granger, Emilie-Claire explore une pop épurée, presque parlée, soutenue par un saxophone et une section de bois au groove subtil. « Le vent m’appelle par mon prénom », signé Louis-Jean Cormier et Michel Rivard, offre quant à elle un moment suspendu, tendre et empreint d’espoir.

Pour conclure ce voyage musical, La plus belle saison se referme sur « Pendant que » de légendaire Gilles Vigneault. Le poète y prête sa voix, apportant une présence intime et émouvante qui scelle l’album avec grâce et profondeur.

Source : Empress Music