Information : Simon Fauteux
En spectacle au Festival International de Jazz de Montréal
30/06 – Montréal – Studio TD (FIJM) – Entrée libre
Montréal, mai 2025 – Après avoir fait paraître la pièce « the sun, the sky » le mois dernier, la compositrice, violoniste, pianiste et chanteuse originaire de Montréal Ambre Ciel partage aujourd’hui « eau, miroir », nouvel extrait de son premier album intitulé still, there is the sea qui paraîtra le 6 juin prochain via l’étiquette britannique Gondwana Records.
Ambre Ciel présentera l’essentiel de son nouvel album le 30 juin prochain au Studio TD de Montréal à 18h00 dans le cadre du Festival International de Jazz. Le spectacle est gratuit et sera une excellente occasion de découvrir le talent exceptionnel de la jeune autrice-compositrice.
À noter également que les prochains mois seront occupés pour Ambre Ciel puisqu’elle s’envolera pour l’Angleterre où a été sélectionnée pour la prestigieuse résidence du CALQ au Studio du Québec à Londres qui s’étendra jusqu’en décembre.
Pop néoclassique onirique, coproduite avec Pietro Amato (Patrick Watson) avec un arrangement orchestral réalisé par Owen Pallett, « Eau Miroir » évoque des images saisissantes d’océans baignés de soleil. La mélodie du piano monte et descend comme des vagues où les voix se reflètent en parfaite harmonie.
Ambre Ciel propose une musique atmosphérique, expansive et spacieuse inspirée autant par la musique classique contemporaine que d’artistes comme Agnès Obel, Patrick Watson, Sufjan Stevens et Thom Yorke. Elle s’inspire également du monde impressionniste de Debussy et des minimalistes américains tels que Phillip Glass et Steve Reich. Elle évoque également la « musique qui respire » d’artistes tels que Gyða Valtýsdóttir, JFDR ou le travail collaboratif de Jónsi et Alex Somers.
À la fois rêveur, spacieux, autonome, fragile et mystérieux, still, there is the sea représente un début, une première tentative imparfaite dit Ambre Ciel, de créer cet autre monde qui vivait dans son esprit. Elle a conçu un magnifique « album pop » raffiné, laissant une grande place aux arrangements de cordes et autres instruments acoustiques, ainsi qu’à sa magnifique voix. « Sur le plan personnel, je cherchais le silence. Je venais d’emménager dans un appartement calme à Montréal et pour la première fois, j’avais tout le temps et l’espace pour entendre le silence et créer, en étant solitaire et en vivant dans le monde intangible des possibilités ».
Source : Gondwana Records