Information : Simon Fauteux

EN SPECTACLE
07/07 – Montréal – Festival International de Jazz
08/07 – Ottawa – RBC Bluesfest
09/07 – Orillia – Mariposa Folk Festival
14/07 – Oshawa – Biltmore Theatre
15/07 – Toronto – Harbourfront Centre*
16/07 – Québec – FEQ 2022
21/07 – Hamilton – Studio Theatre
22/07 – London – Aeolian Hall
23/07 – Guelph – Hillside Festival

“Whomever said they don’t make them like they used to obviously hasn’t heard Tami Neilson.” Rolling Stone
“One of today’s most dynamic purveyors of blues, classic country and all manner of musical styles in-between.” – American Songwriter

Montréal, juin 2022 – La fabuleuse autrice-compositrice-interprète canadienne Tami Neilson fera paraître son cinquième album KINGMAKER le 15 juillet via Outside Music. Reconnue à travers le monde comme une artiste électrisante, Tami Neilson marquera l’arrivée de KINGMAKER avec une longue tournée mondiale dont laportion canadienne débutera par un spectacle extérieur gratuit le vendredi 7 juillet à Montréal dans le cadre du Festival International de Jazz pour se poursuivre à Ottawa, Orrilia, Oshawa, Toronto et Québec dans le cadre du FEQ.

Enregistré aux studios Roundhead de Neil Finn (Crowded House) dans la ville d’adoption de Tami Neilson, Auckland, en Nouvelle-Zélande, KINGMAKER marque la collection la plus provocante et la plus puissante de Neilson à ce jour.

Alimentées par les événements qui ont changé le monde au cours des deux dernières années, les chansons de l’album exposent et font exploser les structures patriarcales qui imprègnent l’industrie de la musique, la vie de famille et la société dans son ensemble. Alors qu’elle a déjà exploré ces thèmes sur ses albums SASSAFRASS (2018) et Chickaboom! (2020), KINGMAKER pousse encore plus loin ces idées, faisant briller une lumière musicale sur ce que feu Bell Hooks appelait «la politique de domination » qui rend les femmes sans nom et sans voix.

Tami Neilson remet en question les rôles et les attentes envers les femmes dans la société. Elle met en lumière la misogynie et l’inconduite sexuelle qui imprègnent l’industrie de la musique. Before they’re too grown to see… Elle chante la sous-estimation des femmes, de leur force, de leur pouvoir, de leur férocité et de leur résilience face aux barrières structurelles et culturelles à leur pleine participation à la société.

Le deuil est au centre de cet album. Après avoir trouvé le démo d’une pièce inachevée, fait par son défunt père Ron Neilson, Tami a écrit les paroles qui ont complété « I Can Forget » – une chanson sur le fait d’être pris de façon inattendue par le chagrin. Ce thème se poursuit avec le magnifique duo avec le grand Willie Nelson sur « Beyond the Stars ». Il y a aussi le chagrin qui accompagne la réalisation que la musique qui coule dans vos veines est entachée et toxique pour les femmes et les personnes de couleur.

L’histoire de Tami Neilson est au centre de cette tapisserie féministe. « King of Country Music » révèle sa lignée de musique country : chanter avec la reine de la musique country Kitty Wells à l’âge de 10 ans, tourner avec sa famille, glisser des démos dans les bacs de linge des stars. Contrairement aux stars masculines qui ont hérité de leur position en tant qu’hommes blancs dans un système construit par et pour les hommes blancs, cette chanson aborde les défis auxquels les femmes sont confrontées pour gagner leur place dans l’industrie.

L’histoire de Tami Neilson ne fait que prendre forme, à partir de ses humbles débuts et de son éthique de travail infatigable, et de son succès, selon ses propres conditions. Tami Neilson utilise maintenant sa voix pour être une actrice de changement, une secoueurse de cage… une Kingmaker.

Source : Outside Music