Information : Simon Fauteux
Montréal, mars 2024 – Jeremy Dutcher est ravi d’annoncer qu’il sera en performance au gala des prix JUNO en compagnie d’Elisapie cette année, en plus d’être nommé dans la catégorie « Album adulte contemporain de l’année » pour Motewolonuwok. Le gala sera télédiffusé en direct le dimanche 24 mars sur CBC.
Dutcher participera également au JUNO Songwriter’ Circle, une discussion entre les nommés cette année sur l’essence de la musique dans sa forme la plus pure : la chanson elle-même. Le chanteur, compositeur de formation classique et militant bispirituel et membre de la Première nation de Tobique (Neqotkuk) de l’est du Canada annonce également une prestation Live à Massey Hall, filmée par CBC l’automne dernier à Toronto disponible maintenant. La série inclut des performances d’artistes tels que The Beaches, Charlotte Cardin, Charlotte Day Wilson, July Talk et plus encore.
Avant de se rendre aux États-Unis, Dutcher participera à la Nuit blanche de Montréal le 2 mars. Dès 23h, rendez-vous pour un concert unique et intime d’une heure Sur mesure dans l’atrium de la Maison de Radio-Canada avec l’invitée spéciale Safia Nolin et diffusé en direct sur les ondes d’ICI musique.
De plus, Jeremy sera de passage à Belle et Bum le samedi 9 mars à 21h sur les ondes de Télé-Québec.
Avec sa plus récente parution – Motewolonuwok – Jeremy Dutcher a été sacré Artiste émergent MOJO dans le numéro de septembre du magazine britannique, qui a décerné la note de ★★★★ au disque, déclarant que « ces chansons ont un véritable poids, et Motewolonuwok le porte avec grâce et gravité. » Rolling Stone France a également accordé la note de ★★★★, décrivant l’album comme « un succès sur toute la ligne », tandis que Télérama ajoute que « ses ballades intimes et richement orchestrées déploient une dramaturgie intense afin de transcender la douleur de l’oppression et d’exprimer la beauté de la résilience ».
Dutcher a atteint les sommets du monde culturel canadien avec son premier album paru en 2018, Wolastoqiyik Lintuwakonawa, qui a remporté le Prix Polaris et un Prix JUNO. Une performance dans le cadre de NPR Tiny Desk et des collaborations avec Yo-Yo Ma et Beverly Glenn Copeland ont suivi. Dutcher est de retour avec Motewolonuwok, une exploration émouvante et évocatrice de l’identité autochtone contemporaine et de sa place au sein de celle-ci, livrant son œuvre la plus ambitieuse à ce jour. Sur son nouvel album, Dutcher écrit et chante par ailleurs pour la première fois en anglais. Une puissante invitation à la guérison collective et à la compréhension. « Une langue commune est un beau cadeau, pour des raisons complexes », explique Dutcher. Ces nouvelles chansons en anglais sont une façon de s’adresser directement au nouveau venu ou colonisateur, dans sa propre langue – une ligne de communication directe afin de transmettre les histoires de guérison, de résilience et d’émergence de sa communauté à toutes les personnes qui écoutent.
Motewolonuwok déploie des orchestrations dynamiques et la portée dramatique propre au piano à queue, évoquant tous ces artistes qui ont révolutionné le monde de la musique classique avec des compositions modernes et extatiques – Julius Eastman, Perfume Genius, Arthur Russell, Beverly Glenn-Copeland, Merce Cunningham. À la fois plus intime et plus ambitieux que tout ce que Dutcher a créé auparavant, Motewolonuwok habite la frontière entre la narration et la composition. C’est un disque engagé et transcendant, ainsi qu’une exploration de soi. Voici de la pop expérimentale qui agit en tant que médecine réparatrice : une expérience queer provocatrice et thérapeutique qui transmet sagesse et puissance aux personnes à l’écoute.
Éloges pour Motewolonuwok
★★★★ – Rolling Stone France
« Il y a de la révolution dans cet album… Motewolonuwok parle de gens qui se lèvent dans les rues, d’unité et de communauté, d’identité. Dutcher, qui est membre de Neqotkuk (Première nation de Tobique), partage avec Anohni un timbre opératique, ses chansons transmettant un même sens de l’engagement spirituel. Ces chansons ont un poids réel, et Motewolonuwok les porte avec une grâce sombre. » ★★★★ – MOJO
« Dutcher chante d’une voix sincère quelque part entre Anohni et Curtis Stigers, interprétant de somptueuses ballades soul, dont les paroles abordent la souveraineté territoriale et l’identité queer. » 7/10 – Uncut
« Le style d’interprétation de Dutcher est aussi puissant que ses paroles. » – Vogue
« [Jeremy Dutcher] incarne l’esprit de son peuple sur ce superbe disque. » — NPR Music
« ses ballades intimes et richement orchestrées déploient une dramaturgie intense afin de transcender la douleur de l’oppression et d’exprimer la beauté de la résilience » – Télérama