Information : Simon Fauteux / Patricia Clavel
EN SPECTACLE
02-03/10 – Val Morin – Théâtre du Marais
24-25/10 – Sutton – LA SAG
01/11 – Montréal – Théâtre Outremont
06/11 – Québec – Théâtre Capitole
2026
23/02 – Gatineau – L’Odyssée
26/02 – Sherbrooke – Théâtre Granada
27/02 – Mont-Laurier – Espace Théâtre
28/02 – Ste-Agathe – Théâtre Patriote
Montréal, août 2025 – Quinze ans après ses débuts remarqués avec « I Wonder », Bobby Bazini franchit une nouvelle étape dans sa carrière avec Seul au cinéma, son tout premier album francophone, qui paraîtra le 19 septembre via Bobby Bazini / Spectra Musique.
Après avoir donné quelques spectacles dans les festivals cet été, la première phase de la tournée Seul au cinéma se mettra en branle à Val Morin (2 et 3 octobre), Sutton (24 et 25 octobre), Montréal (1er novembre) et Québec (6 novembre). Elle se poursuivra en 2026 avec des spectacles à Gatineau (23 février), Sherbrooke (26 février), Mont-Laurier (27 février) et Ste-Agathe (28 février). Retrouvez tous les détails de la tournée au : https://www.bobbybazini.com/shows
Écoutez / partagez le nouvel extrait « Et si à la fin »
Longtemps sollicité par ses fans et les journalistes sur l’idée de chanter en français, l’auteur-compositeur-interprète a mûri cette envie pendant des années avant de trouver le moment et la voix justes. Après une première tentative avortée en 2022 avec son fidèle complice Connor Seidel (réalisateur de Pearl l’album précédent), c’est au terme d’un cheminement personnel — incluant un retour aux études et un travail approfondi sur la langue — que l’album voit aujourd’hui le jour.
Le concept de Seul au cinéma s’est imposé à la suite d’une expérience marquante vécue dans un complexe cinématographique : neuf salles, neuf ambiances, neuf fragments d’histoires… autant de métaphores pour illustrer la quête d’identité de Bobby, entre solitude et introspection. L’album compte neuf chansons, comme autant de « films » intérieurs.
Côté musical, Bobby et Connor ont délaissé les orchestrations grandioses pour un son plus épuré : deux guitares, un ordinateur, quelques cordes rééchantillonnées et des sons captés dans de véritables cinémas. Inspirés par Rêver mieux de Daniel Bélanger et La tête en gigue de Jim et Bertrand, ils offrent un équilibre subtil entre acoustique et modernité, porté par la batterie de Robbie Kuster, les claviers de Conner Molander, la flûte et le saxophone d’Alex Francoeur, ainsi que les chœurs d’Odessa Pagé, compagne de Bobby.
À ses yeux, la sortie de Seul au cinéma ressemble à l’avant-première d’un film où il tient enfin son propre rôle — celui de Bobby Bazinet autant que de Bobby Bazini —, avançant sans artifices dans sa langue maternelle.
Source : Spectra Musique