Information : Simon Fauteux
Montréal, octobre 2025 – Révélation féminine aux Victoires de la Musique 2025, la chanteuse et compositrice française Solann s’impose comme l’une des voix incontournables de la nouvelle scène française. Son premier album Si on sombre ce sera beau, lancé en janvier 2025 et salué par la critique, a déjà conquis des centaines de milliers d’auditeurs. Au Québec, Solann s’est fait connaitre récemment en interprétant le magnifique duo« Ça va » avec Patrick Watson sur son nouvel album Uh Oh.
Découvrez l’extrait Thelma et Louise feat. Yoa
Si on sombre ce sera beau (promis), l’édition augmentée de ce premier album qui paraîtra le 14 novembre inclus 7 titres exclusifs, dont « Thelma et Louise feat. Yoa » et « Parfois feat. November Ultra ». Portée par une voix claire et des textes sombres, elle livre 7 inédits où ses chansons deviennent des confessions nécessaires. Inspirée par les figures ésotériques arméniennes, Solann narre la violence avec une absolue tendresse et s’impose comme une conteuse singulière de nos paradoxes modernes. Avec cette réédition, Solann confirme son statut d’artiste singulière, capable de fédérer un large public tout en restant profondément authentique.
En janvier 2024, le public découvre Solann avec la sortie remarquée de son premier EP, Monstrueuse, porté par son extrait Rome. Cet engouement est confirmé avec son premier album, Si on sombre ce sera beau, sorti en janvier 2025, plébiscité aussi bien par les médias que le public et sur les scènes de France.
Elle s’impose comme l’une des grandes révélations de l’année 2025 : aux Victoires de la Musique, elle est nommée dans trois catégories prestigieuses : Révélation féminine, Révélation scène et Chanson de l’année (Rome), avant de remporter le titre de Révélation féminine. « Dans la volonté de clore un chapitre je voulais me dire une fois qu’il sera sorti tu as interdiction de regretter quoi que ce soit. Donc j’ai voulu être sûre que j’avais tout dit. Que j’avais poussé la revanche jusqu’au bout, que j’avais pleuré ce qu’il me restait à pleurer et que j’avais assez dit « pardon », et tout ça bien sûr en habillant les chansons de tout le drama dont je peux faire preuve » dit-elle.
Bercée par les figures ésotériques « ni vraiment méchantes, ni vraiment gentilles, juste puissantes » de la culture populaire arménienne, la jeune chanteuse se fait formidable conteuse de nos paradoxes. Avec une âme déjà patinée par les remous de la vie et les contes arméniens dont elle s’est nourrie, longs cheveux noirs enserrant une silhouette gracile qui entre les scènes jamais ne vacille, points noirs sous grands yeux qui dardent, parachevant la profondeur des paroles.
Source : Cinq7 / Wagram