Information : Simon Fauteux

Montréal, août 2022 – Basée à Winnipeg, au Manitoba, la formation Living Hour a toujours été un groupe qui a prospéré dans l’isolement. Suspendu au milieu d’un continent, Winnipeg est un lieu de cycles et d’extrêmes et le contraste de ses saisons signifie que le groupe s’adapte constamment et tire le meilleur parti de ce qui les entoure.

Contribuant à favoriser une communauté locale prospère et s’inspirant des visages et des lieux de leur ville natale, le groupe a toujours été motivé par la conviction que leur sa propre musique ne devient plus intéressante que lorsqu’elle inclut d’autres voix.

Pour Someday Is Today, le nouvel album à paraître le 19 août via Next Door Records, Living Hour a poussé encore plus loin cette veine de collaboration, faisant appel à des amis et à des pairs pour apposer leurs talents sur les idées que le groupe avait récoltées. Le fruit de ce travail est Someday Is Today, le troisième album du groupe qui fait suite au LP Softer Faces (2019) qui a reçu d’excellentes critiques des médias tels NPR, Stereogum, Paste, Vice et Bandcamp.

Le noyau de Living Hour est construit autour des membres fondateurs Gilad Carroll (Guitare/Chant), Adam Soloway (Guitare/Chant) et Sam Sarty (Bassiste/Clavier/Chant), qui écrivent ensemble depuis 2014, et Brett Ticzon (Basse/Claviers /Drums), qui a rejoint le groupe en 2018. Sur Someday Is Today, le groupe a collaboré avec une variété d’amis batteurs, dont Jason Tait (The Weakerthans, Broken Social Scene). Le son du groupe est étoffé avec l’aide des trois réalisateurs de l’album : Melina Duterte (Jay Som, Bachelor, Chastity Belt), Jonathan Schenke (Parquet Courts, Snail Mail, The Drums) et Samur Khouja (Cate le Bon, Deerhunter, Regina Spektor) qui apportent leurs touches personnelles au produit final.

Composé de onze nouvelles chansons, Someday Is Today est Living Hour à son plus pensif et nostalgique. Les textes sont magnifiquement enveloppés par une instrumentation luxuriante et généreuse. L’album a été enregistré pendant sept jours consécutifs dans les profondeurs sombres d’un hiver manitobain, avec le groupe enveloppé dans les sons qu’ils produisaient alors que la température atteignait -30 à l’extérieur. « C’est un travail qui peut être difficile et frustrant par bouts mais aussi incroyablement gratifiant » dit Sarty à propos de leur environnement local.

« Cela vous pousse à continuer, à continuer à trouver des lueurs pour avancer, comme un papier d’emballage argent qui sort d’un banc de neige et devient votre autel. Le grand ciel gris me donne le vertige ».

Source : Next Door Records