Information : Simon Fauteux / Patricia Clavel

EN SPECTACLE
24/11 – Los Angeles – Lodge Room
25/11 – San Francisco – Rickshaw Stop
29/11 – Portland – Mississippi Studios
30/11 – Seattle – Barboza
02/12 – Vancouver –  Rickshaw Theatre
03/12 – Victoria – Wicket Hall
07/12 – Toronto – The Concert Hall
08/12 – Montréal – Beanfield

Montréal, octobre 2023 – Le collectif soul-jazz canado-américain Busty and the Bass fera paraître son troisième album Forever Never Cares le 17 novembre prochain via Arts&Crafts. un disque qui semble sortir tout droit d’une époque révolue et complètement moderne à la fois, avec des performances dynamiques, des arrangements expansifs et un large éventail d’approches vocales, y compris l’expression sincère du membre fondateur Alistair Blu, le falsetto de Jordan Brown, l’âme de Katie Tupper, la puissance de Son Little et le côté ludique de Magi Merlin. Dès l’instant où vous pensez savoir dans quelle direction va l’album, il prend une tournure inattendue, mais vous êtes toujours ravi de la destination finale.

« Forever Never Cares est un doux rappel d’abandonner ce à quoi, ou à qui on s’attache » explique le chanteur Alistair Blu. « Cet album est à propos de laisser derrière les petites choses de la vie qui nous obsèdent et d’accepter l’incertitude ». Pour un groupe de musiciens entrant dans une période de changement, c’est un vibrant témoignage de leur lien créatif, qu’ils aient pu produire leur album le plus cohérent et le plus aventureux à ce jour.

« Cet album est l’aboutissement de 10 ans en tant que groupe » déclare Christopher Vincent. « Tous les hauts et les bas, les membres qui vont et viennent. Mais c’est aussi une cristallisation de ce que nous essayons de réaliser depuis des années. »

Les deux albums précédents de Busty and the Bass, Uncommon Good (2017) et Eddie (2020), ont vu le groupe expérimenter avec différents genres, passant facilement d’un style de chanson à l’autre, de la soul au funk en passant par la pop. Forever Never Cares voit le collectif à la fois élargir et distiller ses influences en une sonorité qui lui est entièrement propre. Cela est dû en grande partie au membre fondateur Christopher Vincent qui a conçu et mixé l’album. Vincent a trouvé un langage sonore qui complèterait tous les genres disparates empilés les uns sur les autres.

Avec la soul et le R&B comme pierre angulaire, le disque est parsemé d’explorations multigenres. On y retrouve des extraits aux influences indie rock (« All The Things I Couldn’t Say To You » et « Wandering Lies »), des ballades (« Give Me A Smile » et « Never Get Enough »), de la pop festive-funk (« Starstruck » et « No Angels »), des influences des années 1970 (« Smoke and the Pine » et « Holiday Drive ») et des explorations jazz psychédéliques comme « Far From Here » et « No Self Control » avec le saxophoniste Terrace Martin, collaborateur fréquent de Kamasi Washington et Robert Glasper.

Pour Busty and the Bass, la collaboration a toujours été au premier plan de leur musique. Formé à l’Université McGill de Montréal il y a plus de dix ans, le groupe est maintenant réparti dans quatre villes nord-américaines d’un océan à l’autre. Pourtant, avec cet esprit de collaboration au cœur de Forever Never Cares, les membres n’ont jamais été aussi connectés.

Au fil des années, le groupe a collaboré avec des légendes comme George Clinton, Macy Gray, Earth, Wind & Fire, Slum Village ainsi que de fabuleuses nouvelles voix comme Cadence Weapon et Pierre Kwenders, lauréats du prix de musique Polaris. Plus récemment, le groupe a sorti un mini-album avec le poète et rappeur de Philadelphie STS. Forever Never Cares a remodelé la formule créative du groupe et redéfini la façon dont ils ont travaillé ensemble une décennie après le début de leur carrière.

FOREVER NEVER CARES TRACKLIST
01 All The Things I Couldn’t Say To You
02 Starstruck (ft. Jordan Brown)
03 Never Get Enough (ft. Katie Tupper)
04 Smoke And The Pine
05 Wandering Lies
06 Holiday Drive (ft. Clerel)
07 Far From Here (ft. Magi Merlin)
08 No Angels
09 Give Me A Smile (ft. Son Little)
10 No Self Control (ft. Terrace Martin)

Source: Arts & Crafts