Information : Simon Fauteux

Montréal, février 2023 –Le grand Arthur H fera paraître son très attendu nouvel album, La Vie, le 17 février.

Arthur H, à propos de l’album La Vie, un disque-film

« Un disque est toujours une expédition en terre inconnue. Au début on s’y perd, plus de repère, une incertitude fertile. Je conçois tous mes disques comme une proposition de voyage, un grand voyage dans les sons, dans les mots, dans les histoires. La Vie, ça parle de la pulsion de vie, une ode à la pulsion de vie.

J’ai imaginé des titres génériques, larges, pas trop définit, qui laissent toute la place à l’imagination : La vie, La route, Le secret, L’étoile, L’océan…

Pour ce disque on a pensé à la musique de film, j’en écoute beaucoup, un son large avec une profondeur de champs, les cordes et les chœurs qui emportent. La vie, le morceau-phare et le titre de l’album, est une chanson-film, un court travelling passant devant différents stades de l’existence : « A l’origine tout résonne, tout resplendit, tout s’illumine, tout s’envole » jusqu’à « Ce piège infâme qui se referme, qui te coince, te contrôle jusqu’à la nausée ». En résumé Eros et Thanatos, pulsion de vie et pulsion de mort en miroir, amour et politique, et à la fin c’est la vie qui gagne…

J’ai conçu ce disque avec Léonore Mercier et Nicolas Repac. Léonore, ma compagne, est une artiste contemporaine exigeante et inspirée qui produit des images, des sons et du cinéma. Elle a été présente a chaque étape, nous avons écrit les paroles ensembles, apportant sa créativité folle et ses idées cinématographiques d’espace et de récit. Nicolas Repac, mon frère de son depuis 25 ans, a amené son art extraordinaire du Sample, son sens de la dramaturgie et du contraste. L’ingénieur du son, Philippe Tessier du Cros, est une légende dans le monde du jazz, c’est un scientifique et un amoureux du son acoustique, du son ample, non compressé.

Thomas Bloch, avec qui nous avions tournés au début des années 90, est un spécialiste mondial des Ondes Martenots et du Cristal Baschet, il a joué avec Radiohead, Tom Waits, Daft Punk. Il apporte à ce disque une épaisseur de son et un mystère. Clément Ducol, avec seulement un quatuor de cordes, a donné une dimension orchestrale, une sensibilité à vif et un lyrisme organique. J’ai eu la chance de travailler, pour la rythmique, avec des musiciens de jazz contemporain fantastiques : Sarah Murcia à la basse, Benjamin Moussay au piano et Christophe Lavergne à la batterie. Pauline Haas, à la harpe est une musicienne classique-contemporaine et Yom, à la clarinette, crée un nouveau son klezmer-balkan-électro. J’ai mixé, comme d’habitude, avec Jean Massicote, à Montréal, dans le studio ou j’ai découvert Lhasa, pour ajouter la vibration de cette ville que j’aime tant. »

Crédits
Écrit, Composé, Interprété et Réalisé par Arthur H
Direction artistique, design sonore, arrangement des chœurs et chœurs : Léonore Mercier
Programmation, arrangements rythmique, sample, guitare, guimbarde et chœurs : Nicolas Repac
Arrangements et direction des cordes : Clément Ducol

Musiciens
Piano : Benjamin Moussay sauf « La vie » par Arthur H.
Synthétiseur : Arthur H
Contrebasse et synthé basse : Sarah Murcia
Batterie sur « La route » et « Addict » : Christophe Lavergne.
Harpe : Pauline Haas
Clarinette sur « La route »: YOM
Ondes Martenot et Cristal Baschet : Thomas Bloch

Cordes sur : « La vie », « L’océan », ‘Le secret’ , « El Magnifico », « Titanic », « Divin Blasphème », « L’innocence » et  » La folie du contrôle »

Alto : Camille Borsarello
Violon : Christelle Lassort, Guillaume Roger
Violoncelle : Gregoire Korniluk

Enregistré au studio Le Triton, Les Lilas, France par Philippe Teissier Du Cros, assisté de Bastien Boissier, Jules Ferroul et Timothé Langlois

Enregistrement additionnel et editing par Ludovic Joyeux au Studio Circonflex, Paris, France.
Mixé par Jean Massicote au studio Masterkut, Montréal, Canada.
Masterisé par Alexis Bardinet à Globe Audio Mastering, Bordeaux, France
Production executive : Matthieu Remond / Rising Bird Music

Cliquez ici pour lire un texte écrit par Charles Pépin

Source : Naïve